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Cadis
s. m. Sorte de serge de laine de bas prix. Un lit de cadis. Tapisserie
de cadis. Cadis gris, violet. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Calamine, ou pierre calaminaire, s.
f. Substance minérale jaunâtre, qui a la forme d'une pierre ou d'une
terre, dont on se sert pour faire le cuivre jaune ou laiton, parce
qu'elle contient le demi-métal qu'on nomme zinc, à
qui cette propriété est due. On a mis trop de calamine en fondant
ce cuivre. (Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Calamine (phys.) Oxyde de zinc. Le laiton ou cuivre
jaune est composé d’un mélange de cuivre rouge et de calamine.
(Vocabulaire
d’agriculture, 1810.)
Calmande : s.f.. Etoffe de laine
lustrée d'un côté, comme le satin. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Camelot : s.m; Espèce d'étoffe faite
ordinairement de poil de chèvre, et mêlée de laine, de soie, etc.
Camelot de Hollande, de Bruxelles. Camelot de Turquie, camelot
de Levant, camelot de soie, camelot ondé.
On dit proverbialement d'une personne incorrigible, Il est
comme le camelot, il a pris son pli. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Camisole
s. f. Chemisette. Camisole de ratine, de toile, de futaine, de
basin, etc. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
(Camouflage) : (...) Le caprice
a présidé au choix des couleurs d'habillement ; les calculs de la
raison n'ont influé que rarement sur leur adoption. Quoi de plus
utile pour des troupes légères que des nuances peu éclatantes et
qui se noient, pour ainsi dire, dans l'horizon, dans la teinte des
bois, dans la verdure des campagnes ; c'est ce que presque tous
les peuples ont senti ; de là, le vert de l'habit russe ; de là,
le vert des riflemen anglais ; de là, cette même couleur
pour la plus grande partie des corps légers. Saint-Germain et Ségur
l'avaient bien compris et en avaient appliqué le principe. – Au
contraire, maintenant, l'infanterie légère a des pantalons garance
et des fusils luisants au lieu d'être bronzés. Les hussards ont
un costume brillant et tout de coquetterie ; les tirailleurs à pied
ne sauraient se mettre en embuscade, sans trahir leur cachette ;
des lanciers à qui toute autre nuance eût mieux convenu, ont été
vêtus de rouge. (Bardin, Dictionnaire de
l'Armée de Terre, 1841, p. 304, à Armée française.)
Carton : s. masc. Carte grosse
et forte, faite de papier haché, battu et collé. Gros
carton. Bas relief en carton. Un livre relié avec du carton,
en carton. Boîte de carton.
On appelle Carton fin, celui qui n’est fait que de plusieurs
papiers collés ensemble.
On appelle aussi Carton, un feuillet d’impression qu’on
refait, à cause de quelques fautes qu’on veut y corriger,
ou de quelques changements qu’on y veut faire. Faire un carton,
mettre un carton à un livre.
On appelle aussi Carton, des dessins en grand, tracés
sur du papier, d’après lequel le peintre fait sa fresque,
ou qu’on donne aux ouvriers en tapisseries pour servir de modèles.
Cartons de Raphaël. (Dictionnaire
de l'Académie Française, Cinquième
édition, 1798.)
Cartouche, s.f. Congé
absolu ou limité donné à un militaire par un
écrit scellé du sceau du régiment.
On appelle Cartouche jaune, la cartouche que l’on délivre
à un soldat dégradé, ou renvoyé par
punition. (Dictionnaire de l'Académie
Française, Cinquième
édition, 1798.)
Casimir s.m. Etoffe de laine croisée,
serrée et légère. Pantalon de casimir. Le casimir est ainsi appelé
du nom de son inventeur. (Dupiney de Vorepierre, Dictionnaire
français illustré et Encyclopédie universelle, 1858.)
(D'après le Petit Robert, l'étymologie du mot casimir se trouverait
dans l'anglais cassimere, provenant de kerseymere,
venant-lui-même de kashmir ou Cachemire.
Casse, sub. fém.
On appelle ainsi la moelle qui est renfermée dans une gousse
longue et boiseuse d’un arbre qui vient en Egypte et dans les Indes.
De la casse du Levant. Un bâton de casse. Se purger avec
de la casse. Prendre de la casse. Prendre de la casse en bol ou
dans du petit-lait. (Dictionnaire de l'Académie Française,
1787.)
Cayes : s.f. pl. Nom qu’on
donne, dans les grandes Antilles, à de petits bancs qui sont
formés de vase, de corail et de madrépores, et qui
ressemblent à des îlots. (Dupiney de Vorepierre, Dictionnaire
français illustré et Encyclopédie universelle,
1858.)
Cession,
subst. f. Transport, démission. Faire cession de son
droit.
On dit, Faire cession de biens, ou simplement, faire
cession, pour dire, abandonner ses biens à ses créanciers,
en vertu des lettres su Prince, pour avoir la liberté de
sa personne.
(Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Chamois : subst. masc. Espèce
de chèvre sauvage, qui vit dans les rochers et dans les montagnes.
Il tua, il prit deux chamois. Chamois mâle. Chamois femelle. Il
se dit ordinairement de la peau de cet animal corroyée et passée
en huile. Pourpoint, camisole, caleçon gants de chamois.
Chamoiserie, s.f. Lieu où l'on prépare les peaux de chamois.
Chamoiseur, s.m. Ouvrier qui prépare les peaux de chamois.
(Dictionnaire de l'Académie Française, 5e édition, Paris 1798.)
Chambres : On appelle ainsi de petites cavités
que l'humidité et la rouille creusent à la longue
dans l'âme d'un canon. Lorsque son intérieur est ainsi
rongé, il est à appréhender que le fusil ne
crève en faisant feu. (Manuel d'Infanterie, 1808, p 42.)
Chanvre, s.m. Plante qui porte
le chenevis, et dont l'écorce sert à faire de la filasse. Chanvre
mâle. Chanvre femelle. Cueillir du chanvre. Faire rouir le chanvre.
Teiller du chanvre. Broyer du chanvre.
Il se dit aussi particulièrement de la filasse du chanvre. Du
fil de chanvre. De la toile de chanvre. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Chef (terme de mode) : ... depuis
peu, on fait avec du crêpe noir des coiffures oblongues sur
lesquelles passent en divers sens, des bandelettes d'argent, que
l'on nomme des chefs. Ces chefs, qui dans le principe ne
se trouvaient qu'à la tête des pièces de mousseline,
se font aujourd'hui à la pièce, et ce n'est plus le
clinquant qui en fait le seul mérite, mais on admire dans
leur broderie l'élégance du dessin jointe à
la pureté. (Journal des Dames et des Modes, n° 69, 15
fructidor an 9 - 2 septembre 1801.)
Chenille : (...) Se disait
autrefois d'un habillement négligé que les hommes
portaient avant d'avoir fait leur toilette. (Dupiney de Vorepierre,
Dictionnaire français illustré et Encyclopédie
universelle, 1858.)
Chicorée : s. f. Sorte d'herbe potagère
que l'on met d'ordinaire au pot et dans les salades. Chicorée
blanche. Chicorée sauvage. Sirop de chicorée. Eau de chicorée. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Voir à Café : Racines
et semences qu'on peut substituer au café.
Chorographie
: La Chorographie confidere le nombre, la position, l'étendue
et les qualités des parties d'un royaume ou d'une province,
par exemple de la France, de l'Italie, de la Picardie, etc., le
gouvernement du peuple qui l'habite, ses mœurs, sa religion, etc.
Son nom signifie Description d'une Province. (Robbe, Méthode
pour apprendre facilement la géographie, Paris 1746, tome
1, page 2.)
Voir : Topographie.
Cincinnatus (ordre
de)
Cobalt ou cobolt :
s.m. Demi-métal dont on tire l'arsenic. Substance minérale qui a
la propriété de donner une couleur bleue au verre. On en fait le
safre ou le bleu d'émail, ou le bleu de Saxe.
(Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Cocarde : Depuis
mai 1787, les Brabançons avaient arboré, en signe de résistance,
une cocarde aux couleurs des armes du duché : noir, jaune et rouge,
correspondant au lion d’or sur fond de sable, armé et lampassé de
gueules. (Cf. E. Hubert, Correspondance de B.J. Dotrenge, Agent
diplomatique de prince-évêque de Liège auprès de la cour de Bruxelles,
p. 197.) A la fin du mois de mai 1787, les habitants de Luxembourg
arborèrent des cocardes “de la couleur des armoiries de ce duché,
bleues, blanches et rouges”. La cocarde tricolore française
bleue, rouge et blanche apparut dans la nuit du 13 au 14 juillet
1789, succédant, par arrêté de l’assemblée des électeurs de Paris,
à la cocarde verte arborée au Palais-Royal le 12 juillet. La cocarde
bleue et rouge, inventée le 13 juillet, était réservée aux
membres de la milice bourgeoise. Le fait d’arborer une cocarde était
une déclaration de prise d’armes, d’opposition ouverte au pouvoir,
le port de cet ornement étant traditionnellement réservé aux militaires.
Voir le Mystère de la Cocarde.
Cochenille, subst. fém. Petit
insecte qui s'attache à quelques arbres de l'Amérique. Le suc de
cet insecte donne la plus belle écarlate. On a souvent confondu
la cochenille avec la graine d'une espèce de chêne vert, qui
avant que la cochenille ne fût plus commune, servait à teindre en
écarlate. Cette graine est le kermès. Voyez Kermès.
Cognat, s. masc. Terme de jurisprudence. (Le G
se prononce durement dans ce mot et dans le suivant.) Il se dit
en général de ceux qui sont unis par des liens de
parenté ; et quelquefois il signifie singulièrement
ceux qui sont parents du côté des femmes. Les Agnats
et les Cognats. (Dictionnaire de l'Académie Française,
1787.)
Cognation, s. f. Lien de parenté entre tous
les descendants d'une même souche. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Colza, s.m. Espèce de chou sauvage. On
en sème beaucoup dans l'Artois. On tire de sa graine une huile bonne
à brûler, et à d'autres usages. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Comité militaire : Le décret du 1er
octobre 1789 crée dans le sein de l'Assemblée nationale un "comité
militaire" pour se concerter avec le ministre de la guerre,
sur un plan de constitution militaire, et en faire son rapport à
l'assemblée.
Concert spirituel. Ce concert,
placé dans l’ancienne salle des machines, au château
des Tuileries, est aujourd'hui sous la direction de M. le Gros.
Ce concert a lieu les jours de fêtes solennelles, de fêtes
de Vierge, et pendant la quinzaine de Pâques.
Premières loges, balcons et amphithéâtres …
6 liv. ; Secondes loges … 4. ; Troisièmes loges et parquet
…3.
_. (Le Voyageur à Paris, éd. 1789, t. 1, p. 194.)
Concert spirituel : concert établi en 1725
au château des Tuileries, par privilège accordé
à François Philidor, à la condition qu’il dépendrait
toujours de l’Opéra et lui paierait 6.000 livres par an.
(Hatin, Histoire de la presse, t. 2, p. 30.)
Conster, v.
impers. Etre évident, être certain. Il ne s’emploie
guère qu’au Palais, où l’on dit, Il conste de
cela. Il conste que……. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Cophte ou Copte
: s.m. Nom qu’on donne aux Chrétiens originaires d’Egypte,
et qui sont la secte des Jacobites, ou Eutichiens. On nomme aussi
Cophte l’ancienne langue égyptienne. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
___________
(L'Egypte) est habité(e) par les Cophtes,
qui sont les naturels du pays ; par des Maures, des Arabes, des
Chrétiens Grecs et latins, des Juifs, et par les Turcs, qui
en sont les souverains. Les Cophtes sont la plupart schismatiques.
Benoît XIV a soumis les Cophtes catholiques au patriarche
Cophte de Jérusalem. Ce peuple a une langue particulière,
dont le caractère ressemble au Grec. (Vosgien,
Dictionnaire géographique portatif, troisième édition, an VII-mai
1799, article Egypte)
Cordelat,
s.m. (Drap.) étoffe qui se fabrique en plusieurs endroits,
à Auch en Auvergne, à Langogne, en Languedoc, à Romorentin, en Rouergue,
dans les vallées d’Aure, à Montauban, Nebouzan, pays de Foix, etc.
Elle varie dans sa longueur, largeur et fabrication, selon les endroits.
(…) Il est permis au Nebouzan, pays de Foix, etc. de leur donner
telle longueur qu’ils voudront, pourvu qu’ils aient de largeur deux
pans un tiers mesure du pays. (Encyclopédie,
tome 4, 1754, p 213).
Coriandre, s.f. Plante ombellifère.
Elle donne une semence qui sent la punaise, lorsqu'elle est fraîche,
et qui est très agréable au goût, lorsqu'elle est sèche. On en fait
des dragées, et on l'emploie aussi en médecine. De bonne coriandre.
Des dragées de coriandre, ou absolument, de la coriandre.
On dit que la coriandre est bonne pour la digestion. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Corsaire
Couleurs
:
Aurore... Couleur d'aurore,
Espèce de jaune doré. Taffetas, satin couleur
d'aurore. Par ellipse, Un ruban aurore, du satin aurore.
— L'Académie aurait dû nous donner un exemple où
l'épithète aurore fût précédée
d'un substantif au pluriel tel que des rubans ; car il
est un assez grand nombre d'objets, surtout de fleurs et de fruits,
dont les noms sont employés adjectivement comme couleurs,
et l'on est fort embarrassé pour savoir si l'on doit ou non
les faire accorder avec le substantif, parce que nulle part l'Académie
n'a tranché la question, pas même à l'article
ROSE, où cependant elle met la dénomination très
explicite « adj. des deux genres ». Là comme
ailleurs elle ne met que des substantifs au singulier : «
La couleur rose est une des plus agréables. Du ruban
rose. Du taffetas rose. Une robe rose » ; et à
l'article Couleur elle dit, Des souliers couleur
de rose.
Voici les principales couleurs tirées des noms de végétaux,
d'animaux, etc. : amarante, aurore, capucine, céladon,
citron, feuillemorte, garance, gorge-de-pigeon, lilas, marron, nacarat,
noisette, olive, orange, ponceau, puce, rose, souci. Assurément
personne ne songera à donner le genre féminin aux
mots céladon, citron, marron, nacarat, ponceau,
mais on pourra être tenté d'écrire des rubans
citrons, oranges, ponceaux; des habits marrons, noisettes, olives,
comme on écrit tous les jours des rubans roses, des robes
roses, car l'analogie joue un grand rôle dans nos jugements
: nous avons même vu dans un ouvrage de botanique des
anémones auroreS. Nous pensons que la même raison
qui empêche de donner un féminin à céladon,
citron, marron, nacarat, ponceau, doit rendre ces mots invariables,
car ils ne sauraient prendre le nombre plutôt que le genre.
Cette règle doit exister également pour ceux qui se
terminent par un e muet comme amarante, aurore, capucine, noisette,
olive, orange, puce, etc.; mais nous ferons une exception en
faveur des rubans et des robes roses, puisque l'Académie
nous dit que ce mot est un adjectif. Quant aux autres, afin d'éviter
ce qu'il peut y avoir de choquant pour l'œil à voir l'adjectif
au singulier avec un substantif au pluriel, on ne fera pas l'ellipse
et l'on dira, des rubans de couleur citron, orange, ponceau,
ou des rubans couleur de citron, d'orange, de ponceau ; des
habits de couleur marron, couleur de noisette, d'olive, etc.
(Pautex B. Errata du Dictionnaire de l'Académie française,
ou remarques critiques sur les irrégularités qu'il
présente, Paris, 1862. p 33.)
Couperose, subs. fem. Espèce de minéral
synonyme de vitriol martial. Couperose verte. Couperose blanche.
(Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Coutil, s. m. Espèce de toile faite
de fil de chanvre ou de lin, qui est lissée et fort serrée, propre
pour faire des lits de plume, des taies d'oreiller, des tentes,
etc. Coutil de Flandres. Coutil de Bruxelles, de Normandie, etc.
Craie. (phys.) Tout le monde
connaît la substance minérale blanche et très friable à laquelle
on donne généralement le nom de craie ; mais tout le
monde ne sait pas que la chimie et la minéralogie modernes ont changé
cette dénomination, apparemment trop vulgaire, en celle de carbonate
calcaire. La craie est formée de chaux et d’acide carbonique.
Quand elle est pure, c’est du blanc d’Espagne ; mêlée
avec de l’argile, elle devient de la marne. (Vocabulaire
d’agriculture, 1810.)
Crêpe, s. m. (latin,
crispus, frisé). Sorte d'étoffe très
claire. C. blanc, rose, noir. Un bandeau, un voile, une robe de
c. C. funèbre. — Absol., Morceau de c. noir qui se porte
en signe de deuil, et que l'on attache ordinairement au chapeau.
Porter un c. à son chapeau. Les militaires portent le c.
au bras. || Figur. et poét., se dit de l'obscurité
qui enveloppe les objets pendant la nuit. L'ombre d'un c. noir enveloppait
la ville.
Enc. — Le Crêpe est un tissu clair, léger et non croisé,
qui se fabrique avec de la soie brute non décreusée
ou avec de la laine d'une grande finesse. Il sert à faire
des vêtements de deuil quand il est noir, et des voiles, des
écharpes, ainsi que plusieurs autres objets de la toilette
féminine, quand il est blanc. Ce tissu a été
inventé à Bologne, en Italie. On le fabrique principalement
aujourd'hui a Lyon, en France, et à Norwich, en Angleterre.
Les variétés, désignées sous les noms
de Cr. crêpé, Cr. lissé, Cr. simple et Cr. double,
diffèrent entre elles, soit parce que leur chaîne a
reçu divers degrés de torsion, soit parce qu'elles
ont été soumises, après le tissage, à
quelques manipulations particulières. (Dupiney de Vorepierre,
Dictionnaire français illustré et Encyclopédie
universelle, 1858.)
A-B-C-D-E-F-G-H-I-J-K-L-M-N-O-P-Q-R-S-T-U-V-wxyz
Dictionnaire
de marine
Diction. du
Cultivateur
Dictionnaire du général
Bardin
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