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Fabrique
: s.f. Construction d'un édifice. Il ne se dit guère qu'en parlant
des églises. (...)
Signifie aussi la façon de certains ouvrages et de certaines manufactures.
La fabrique des monnaies. La fabrique des étoffes de soie, des
draps, des chapeaux, des futaines, etc. Ce drap est de bonne fabrique.
Il est de la fabrique d'un tel lieu. La fabrique en est belle.
On dit figurément, familièrement et en mauvaise part, Ces
deux hommes sont de même fabrique, pour dire, qu'ils ne
valent pas mieux l'un que l'autre. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Fencibles : Pitt
a mandé, il y a quelques jours, tous les chefs des corps de volontaires,
qu’on nomme Fencibles. Ce sont des intermédiaires entre les troupes réglées et
les milices. Celles-ci ne sont obligées de servir que dans leurs
cantons respectifs. Les fencibles s’engagent à servir dans toutes
les parties des trois royaumes, où l’on voudra les envoyer. (Le
Compilateur, 25 messidor an 7).
Fer-blanc, s.m. C'est du fer en lame
mince qui est recouvert d'étain. Plaque de fer-blanc. Une cafetière
de fer-blanc. (Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Ferblantier, s.m. Ouvrier qui travaille en fer-blanc.(Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Flamingant,
ante, adj. Terme qui se dit très peu, et
seulement avec les noms Flamand, ou Flandre, auxquels on
le joint comme épithète, pour marquer un Flamand qui
a toutes les mœurs, les manières, les inclinations Flamandes,
qui n’a point celles des Français. Flamingus ; purus
putusque Flamingus. (Berthelin,
Abrégé du Dictionnaire universel françois et
latin, Paris 1762.)
Flanelle
: s.f. Etoffe légère de laine. Flanelle d'Angleterre. Chemisette
de flanelle. Porter de la flanelle sur la peau. (Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Fleuret. s.m.
Certaine espèce de fil fait de la matière la plus grossière de la
soie. Dans cette étoffe, il y entre beaucoup de fleuret. Le fond
de cette brocatelle est de fleuret. On
appelle aussi Fleuret, le ruban qui est fait de ce même fil.(Dictionnaire
de l'Académie Française, 1787.)
Flûte : voir Dictionnaire
de Marine.
Fonderie, s.f. Le lieu où l'on fond
du métal. Il y a là une fonderie. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.)
Forces, s. f. pl. Espèce de grands ciseaux
dont on se sert à tondre les draps, à couper des étoffes, à les
tailler, à couper des lames de laiton, de fer blanc, etc. Une
paire de forces. (Dictionnaire de l'Académie Française,
1787.)
Forges (Grosses), c'est ainsi qu'on
appelle les usines où l'on travaille la mine du fer.
(Encyclopédie, tome 7, 1757, p. 135.)
Forçat : s. m. Esclave qui sert
sur les galères, ou criminel que la justice a condamné à y servir.
Il y a tant de forçats sur cette galère. On délivra les forçats.
(Dictionnaire de l'Académie Française, 1787.)
Forts,
toutes personnes de journées qui s'adonnent à remuer
et porter de pesants fardeaux sur des crochets ou sur des hottes:
c'est ce qu'on nomme communément à Paris porte-faix,
et à Liege des botteresses, parce que ce sont des
femmes qui s'emploient à ces travaux.
(Bertrand
(J.E.), Descriptions des arts et métiers, Nouvelle édition.
tome 18, Neuchatel 1781.)
Frégate : Voir Dictionnaire
de Marine
Futaine : s.f. Etoffe de fil et de
coton. Futaine à grain d'orge. Acheter de la futaine. Brassière
de futaine. Camisole de futaine. (Dictionnaire de l'Académie
Française, 1787.
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Dictionnaire
de marine
Diction. du
Cultivateur
Dictionnaire du général
Bardin
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