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Infanterie de ligne 1800-1806

     
 

     
  L’infanterie de ligne gardait, à l’avènement de l’Empire, l’allure des demi-brigades de la Révolution. L’habit était celui décrété par l’Assemblée nationale le  27 juillet 1791, appelé “habit national” : bleu de roi, doublure blanche ; parements et collet écarlate à passepoil blanc ; revers blancs à passepoil écarlate ; Les pans, retroussés et agrafés étaient amples et longs. Chaque régiment avait tendance à se singulariser par une particularité au niveau des couleurs des parements et de leur patte, ainsi que des ornements de retroussis ;  cœurs, losanges ou carreaux, étoiles, chiffres, aigles...
Le bouton était jaune, frappé du numéro du régiment.
La coiffure était le chapeau à trois cornes, qui devait se porter “à l’ordonnance”, c’est à-dire enfoncé sur le sourcil droit, la corne de devant placée au dessus du sourcil gauche, découvert de l’épaisseur d’un demi-pouce.
Les grenadiers portaient le plumet ou le pompon rouge, les épaulettes rouges et la grenade rouge aux retroussis. Dans certains corps ils portaient le bonnet à poil (dit oursin) garni d’une plaque de cuivre. Les compagnies de fusiliers se distinguaient au moyen de pompons de forme et de couleur arbitraires, car les prescriptions du règlement de 1786 à ce sujet étaient tombées en désuétude.
Les musiciens portaient des tenues variées, dans lesquelles la fantaisie se donnait quelquefois libre cours.

 

 
 
 

Les dessinateurs allemands ont fixé l’image des soldats de la Grande Armée, tels qu’ils leur sont apparus au cours des campagnes de 1805 et de 1806. Le chapeau se porte le plus souvent en colonne (une corne en avant). Les soldats portent le pantalon. Effet non réglementé à cette époque, il est de couleurs variées et présente souvent, une grande fente dans le bas des jambes, du côté extérieur, afin de faciliter le passage du pied chaussé.
La capote fut déjà ordonnée et portée dès les premières campagnes de la Révolution, mais cette mesure ne fut jamais complètement appliquée, et sous le Directoire, la capote se fit de plus en plus rare. Pendant la campagne de 1805, dont l’épilogue eut lieu dans les plaines glacées de Moravie, la nécessité de ce vêtement se fit sentir plus que jamais. Les corps s’en procurèrent comme ils le purent, usant de redingotes civiles ou au moyen de réquisitions. On ne s’étonnera donc pas d’en trouver de toutes couleurs.

 

 

 
 
     
  La capote devint réglementaire le 25 avril 1806.
Le col noir qui devait être porté en campagne était souvent remplacé par des mouchoirs de nuances diverses.
Les officiers portent le surtout. Celui varie dans sa forme, mais aussi dans la disposition des couleurs, certains étant entièrement bleus, d’autres gardant les couleurs de l’habit sur le collet, les parements, les retroussis, sans qu’il y ait eu de règle écrite à cet égard.

 

 
 
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