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Itinéraire des Archives
de Caulaincourt :
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Le
4, l'Empereur a monté le Curde à 7 heures
du soir, visité la manutention, parcouru les bords du ravin
de la route de Souraje, les derrières de la ville, revenu
par la route de Babinowitschi. Rentré à 9 heures.
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Le
général de Caulaincourt, Grand Ecuyer de l'Empereur
:
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Pendant
ce temps, l'Empereur s'occupait, avec son activité accoutumée,
de tout réorganiser ; il occupait le palais du gouverneur et
avait fait agrandir la place qui est devant. La Garde avait été
employée à ces travaux. La chaleur était excessive,
et ce fut un grand bonheur pour l'armée de jouir de quelques
repos dans ce moment. Chaque jour, il y avait grande parade à
6 heures du matin. Les chefs de tous les services s'y trouvaient,
et l'Empereur y témoignait hautement son mécontentement
à ceux qui étaient en défaut, souvent aussi à
ceux qui, on peut le dire, avaient fait l'impossible.
- « Il faut réussir, » disait l'Empereur à
ceux qui croyaient se justifier en vantant leurs efforts.
Quant à ceux qui parlaient de leur dévouement et de
leur zèle :
- « Je n'en tiens compte qu'autant que le succès en est
le résultat, » leur répondait-il.
L'Empereur se faisait, sous ce rapport, plus difficile qu'il ne l'était,
car, sans le témoigner, parce qu'en principe il ne louait personne,
il remarquait et appréciait bien les hommes zélés
et attachés à leurs devoirs.. |
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de
Baudus, aide de camp du maréchal Bessières :
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Napoléon
s'établit à Witepsk comme s'il eût été
déterminé à y faire un long séjour. Il
y occupait le palais du Gouvernement. On abattit par son ordre toutes
les maisons qui l'entouraient, de manière à créer
une vaste place d'armes où pouvaient se réunir les troupes
qu'il passait tous les jours en revue. Il fit aussi de nombreuses
reconnaissances dans les environs, donna l'ordre de construire des
fours et d'établir des hôpitaux. |
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Journal
de l'Empire du mardi
4 août 1812 :
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Paris,
3 août. M. le général comte Baraguay-d'Hilliers,
commandant la 19 division militaire à Lyon, colonel-général
des dragons, a reçu l'ordre de se rendre au quartier-général
de S.M. L'EMPEREUR. S.Exc. est partie pour sa destination. |
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Nous
avons dit que S.Exc. le ministre de l'Intérieur avait mis
à la disposition de M. le préfet de la Gironde une
somme de 400 fr. pour être donnée à titre de
secours, à une femme âgée de 108 ans, nommée
Jeanne Bacquet, domiciliée à Pompignac, arrondissement
de Bordeaux.
L'indicateur de Bordeaux, du 29 juillet, donne la notice suivante
sur cette centenaire :
« Jeanne Bacquet a été mariée ;
elle n'a jamais eu d'enfants ; elle est veuve depuis vingt-deux
ans. Elle a constamment travaillé la terre, n'ayant aucune
propriété ; sa figure a été belle
et se trouve bien conservée ; sa vue est encore bonne,
et sa marche assurée : elle se rend exactement à
l'église tous les dimanches, soit en été, soit
en hiver ; on lui réserve toujours une chaise, mais
elle ne la prend jamais ; elle jouit encore de toutes ses facultés
intellectuelles ; depuis trois ans seulement, elle ne peut
plus travailler, ce qui l'oblige à recourir à la bienfaisance
des personnes charitables. La seule occupation à laquelle
elle puisse se livrer, est d'aller le long des chemins ramasser
le bois dont elle a besoin pour son chauffage. |
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Centenaires
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