A gauche : Sergent du Leib-Garde-Regiment.
A droite : Soldat du Leib-Regiment.
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A gauche : Cornet du Régiment Groß-und Erbprinz.
A droite : Soldat du Garde-Füsilier-Regiment .
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En 1806, le landgrave Louis X de
Hesse-Darmstadt, en accédant à la
Confédération du Rhin, est promu au rang de
grand-duc, mais il doit fournir 4000 hommes de troupe à son protecteur,
l’Empereur des Français, comme prix de sa protection.
Une grande partie de l’infanterie de Hesse-Darmstadt sera envoyée en Espagne et
sera capturée par les Anglais à Badajoz en 1812. A la fin de la même année, de
nombreux Hessois disparaissent en Russie. Au début de l’année 1813, le
grand-duché dut remettre sur pied une armée de 7000 hommes, dont la plus grande
partie fut faite prisonnière à la bataille de Leipzig.
L’infanterie comprenait un Leibgarderegiment, un Leibregiment, et
le régiment Groß- und Erbprinz.
En 1812, deux bataillons provisoires de
fusiliers forment un régiment d’infanterie légère, qui devient en juin 1813 le
Garde-Füsilier-Regiment .
Les tenues de Hesse-Darmstadt, très prussiennes à l’origine, furent marquées
dans la suite par l’influence française.
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1. Officier du Leib-Garde-Regiment en grande tenue.
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Habit d’officier du Régiment Groß-und Erbprinz.
Habit de grenadier du Leib-Regiment. |