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Sur quelques nouveaux écrits militaires 1817...

     
 

     
  Article du général Beauvais, paru en janvier et février 1817 dans le Mercure de France.  
 

 

Le Mercure de France, janvier 1817 :

   
 

Sur quelques nouveaux écrits militaires.

En nous proposant de rendre compte des ouvrages qui paraîtront sur l'histoire et l'art militaire, nous suivrons le sage conseil qu'a bien voulu nous donner le messager des dieux, d'être en tout temps, en toute occasion, les défenseurs de la gloire nationale (1).
Mais pour remplir cette tâche honorable au gré de nos lecteurs, nous avons pensé qu'il ne serait point hors de propos de leur faire passer préliminairement en revue les principaux écrits qui ont été publiés sur cette matière intéressante depuis 1814.
Après vingt-cinq années d'une guerre où toutes les passions se sont développées avec la plus terrible énergie , les livres destinés à en retracer les événements, à développer les principes, et à présenter les nouvelles vues stratégiques qu'elle a fait naître, ont dû exciter une vive curiosité, commander un puissant intérêt ; par cela même il devient important d'éclairer l'opinion publique sur les intentions, sur la véracité des auteurs qui se sont imposés ou arrogés la mission de servir de guides à la muse impartiale de l'histoire dans la recherche de ses documents.
Et d'abord nous diviserons ces écrivains en deux classes.
L'une se composera des compilateurs qui, par les concessions qu'ils ont faites aux circonstances et à l'esprit de parti, ont moins travaillé pour fournir des matériaux aux historiens a venir, que pour assurer le prompt débit de leurs productions éphémères, sans s'arrêter d'ailleurs aux considérations importantes qui devraient être le but direct de toute entreprise de ce genre.
Si les justes bornes d'une saine critique nous empêchent de nous occuper spécialement de ces hommes à calculs qui font taire leur conscience, et mettent à prix leur opinion, nous devons toutefois signaler des écrits qui ont pu et pourraient encore égarer le lecteur de bonne foi, et l'amener a juger , sans connaissance de cause, les événements ou les observations qui lui sont retracées.

     
 

Ainsi donc nous ne balancerons point a déclarer que l'Histoire circonstanciée de la campagne de Russie, malgré la vente rapide de cinq éditions successives , ne nous a paru qu'un canevas informe sur lequel M. Labaume a tracé des broderies romanesques. Cet ingénieur-géographe trouvera sans doute beaucoup de sévérité dans notre opinion ; mais s'il veut être sincère et mettre pour quelques instants l'amour-propre ou tout autre intérêt de côté, il nous dira si l'on doit considérer autrement le journal particulier d'un officier d’état-major de l'un des nombreux corps d'une armée de trois cent cinquante mille hommes, bien que ce journal soit enrichi de nombreux récits épisodiques, de considérations d'un genre élevé, de descriptions pompeuses et pathétiques. Nous sommes disposés a reconnaître beaucoup d'exactitude et d'intelligence dans les détails topographiques que donne M. Eugène Labaume ; mais qu'il nous permette de douter encore de sa profonde expérience dans un art qui ne s'apprend que par de longues et périlleuses études : qu'il nous dispense de croire aveuglément a la sagesse de ses réflexions politiques, à la pureté des sources où il prétend avoir puise la vérité, a l'infaillibilité de ses opinions, à sa rigide impartialité dans un procès qui n'a encore éte jugé que par le résultat des événements. Nous lui accorderons en retour que son livre n'est point dépourvu d'un certain intérêt, si on ne l'examine que sous le rapport romantique ; que malgré sa grande irrégularité et l'ambition de quelques tirades, le style n'en est pas sans agrément ; qu'on y trouve quelques détails véridiques, des plans instructifs et bien dessinés, un itinéraire assez exact du quatrième corps d'armée ; mais tout cela n'est point suffisant, à notre avis, pour classer cet ouvrage ( malgré son titre d'Histoire circonstanciée) parmi ceux dont la lecture peut former l'opinion' sur cette campagne désastreuse, et offrir aux militaires de profitables leçons. S'il nous est permis de hasarder une conjecture que semblerait justifier le succès même du livre de M. Labaume, peut-être ce jeune auteur s'est-il proposé un but plus positif et plus matériel que celui que nous venons d'indiquer.

 

Labaume, Histoire circonstanciée de la campagne de Russie

 

 

 

 

 

 
 

M. Sarrazin nous saura gré, sans doute, de ne point parler de ses histoires sur la guerre d'Espagne, de Russie, d'Allemagne et de la Restauration. Notre opinion se ressentirait des réflexions pénibles que fait naître la position dans laquelle cet auteur s'est placé ; position qui semble le mettre tout à fait hors de la ligne des écrivains qui ont acquis des droits à la confiance des lecteurs. Nous parlerons bien moins encore de son Tableau de la Grande-Bretagne, ou plutôt de ses observations critiques sur l'ouvrage que le général Pillet a publié sur le même sujet. Cette amère et indigeste production de M. Sarrazin ne peut entrer dans notre cadre, bien qu'elle pût servir d'ailleurs a justifier les motifs de notre discrétion, et du silence indulgent que nous garderons à l'égard de son auteur.

 

Sarrazin

 

 

 

 
 

Le frère de M. Michaud l'homme de lettres a mis au jour un Tableau historique et raisonné des campagnes de Buonaparte. Un imprimeur pourrait peut-être appeler de l'opinion que nous hasarderions dans une question de typographie ; M. Michaud de Villette ne doit pas trouver mauvais si nous déclinons sa compétence dans une matière qu'il ne connaît nullement, ainsi qu'il l'a prouvé par le livre que nous venons de nommer. Nous aurions tort de craindre, au surplus, que cet ouvrage pût donner une direction fâcheuse aux idées de ses lecteurs sous le rapport militaire, le seul sous lequel il nous convient de le considérer ; il renferme, entre autres absurdités, des propositions que n'oserait pas avouer le caporal le plus inepte d'une armée. On en jugera par celle que nous allons citer. Après avoir savamment défini la tactique a laquelle nous devons des victoires si mémorables, une guerre par colonnes et par changement de front rapide, M. Michaud avance que cette méthode n'est au fond que la guerre de postes sur une plus grande échelle ! ! ! Ab uno disce omnes.
Nous bornerons ici notre critique, sans profiter de l'avantage que nous donne si libéralement l'auteur.

 

Michaud

 

 

 

 

 

 

 
 

Les compilations pamphlétaires de MM. Alphonse de Beauchamp, Durdent, Breton de la Martinière, etc., et la foule de brochures du même genre, destinées à tromper la curiosité du moment sans fixer l'attention réfléchie d'un public éclairé, ne méritent pas d'être exhumées; nous attacherions à ces écrits une importance qu'ils n'ont pas eue à l'époque même de leur publication. Leurs auteurs trouveraient peu de générosité dans la révélation des motifs qui les ont dirigés : nous désirons, au contraire, qu'ils puissent regarder comme un bienfait l'oubli dans lequel on doit laisser ces oeuvres de ténèbres.
Nous ferions injure a la sagacité des lecteurs et nous abuserions de leur patience , en déroulant la liste des écrivains qui appartiennent' exclusivement a la classe que nous avons désignée. Ceux dont nous allons parler maintenant seront placés dans une autre catégorie, et prétendent à une toute autre recommandation, par leur caractère, le rang qu'ils occupent dans la société, les services qu'ils ont rendus à l’état, les connaissances qu'ils possèdent., leur expérience et leur style; ils ont acquis un droit qu'on leur contesterait difficilement, celui de faire lire et méditer leurs écrits par les honnêtes gens qui ne séparent jamais leurs intérêts de celui de la patrie. Sous ce rapport, il nous convient de donner plus d'étendue au coup d'œil que nous allons jeter sur les ouvrages de cette classe honorable d'auteurs vraiment militaires.
                                                                                 Le général T. B***.

{i} Voyez le premier numéro du Mercure ( 4 janvier 1817), pag. 11

 

Beauchamp,
Durdent
Breton de la Martinière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Mercure de France, février 1817 :

   
 

Sur quelques nouveaux Ecrits militaires.
(Deuxième article.)

Si l'expérience de tous les siècles a démontré que les guerres sont un mal nécessaire, et aussi inévitable dans le système du monde, que les volcans, les tremblements de terre et les ouragans, il est dans l'intérêt des Etats, et c'est une conséquence positive de l'amour de la patrie, de stimuler et d'entretenir chez les grandes nations l'esprit guerrier, qui seul peut assurer leur indépendance.
En publiant ses Considérations sur l’Art de la guerre (1), M. le lieutenant général Rogniat a donc plutôt rempli le devoir d'un bon citoyen, qu'il n'a cherché a satisfaire le désir d’augmenter, par l'exposé de ses observations savantes et judicieuses, la réputation qu'il s'est acquise dans l'honorable carrière qu'il a parcourue d'une manière si distinguée. Cet ouvrage justifie tout ce qu'on était en droit d'attendre de l'officier général qui a donné une direction si brillante au génie militaire, dans le cours de nos dernières campagnes. La relation des sièges de Sarragosse et de Tortose avait déjà prouvé aux hommes du métier et a tous les militaires instruits que l'auteur possédait à un très haut degré les connaissances de l'arme à laquelle il s'est plus particulièrement attaché. Ses considérations générales, dont nous allons présenter une légère esquisse, fournissent une nouvelle preuve qu'il a étendu habilement ses études et ses recherches a toutes les branches d'une science devenue si importante depuis que les progrès de la civilisation européenne en ont multiplié les combinaisons.

 

 

 

 

 

Rogniat

 

 

 

 

 

 
  La nature des armes et la manière de se battre déterminent, suivant notre auteur, la division de l'histoire de la guerre, en deux grandes périodes. La première doit comprendre les siècles passés jusqu'à celui de Louis XIV; la seconde, qui ne peut guère remonter au delà du dix-huitième siècle, est nécessairement marquée par la révolution que l'usage des armes a feu a introduite dans l'art militaire. Sans s'arrêter aux essais rudes et grossiers des nations barbares, et après avoir renvoyé ses lecteurs, pour la tactique des Grecs , aux deux Traités qu’Elien et Arrien ont écrits sur ce sujet, le général Rogniat passe de suite au système militaire des Romains, parce qu'il pense que ce peuple guerrier a porté au plus haut point de perfection l’art de la guerre, fondé sur les anciennes armes. Il présente, sur ce système, des considérations qui se trouvent eu contradiction avec les idées des commentateurs qui l'ont précédé ; mais la précaution qu'il a prise de citer ses autorités, doit le justifier aux yeux de ceux qui voudront approfondir ses raisonnements. Il devient aisé de suivre avec lui les progrès et la décadence de la tactique ancienne, sa renaissance dans les siècles plus modernes, et les vicissitudes qu'elle éprouva selon le génie ou le caractère de ceux qui la mirent en œuvre. Après une suite d'observations judicieuses, l'auteur arrive à l'époque où l'usage des armes a feu introduisit un nouveau système de guerre. Il fait connaître le développement successif de ce dernier, et les difficultés qu'éprouva la pratique de la nouvelle méthode de combattre. En rendant une entière justice aux grands talents militaires des illustres capitaines du siècle de Louis XIV, le général Rogniat démontre que le système moderne avait encore de grands progrès a faire , et c'est au milieu du dix-huitième siècle qu'il fait observer sa marche rapide. Il était réservé à ce siècle, tant calomnié , de voir sur l'un des trônes du nord de l'Europe, un monarque qui fut à la fois, comme Julien, philosophe, grand homme de guerre , et écrivain distingué. Frédéric II donna un nouvel ordre et de la précision, aux manœuvres, rendit l'usage des armes a feu plus positif et plus redoutable, et apprit aux fantassins a braver la cavalerie, qui fut réduite par lui a des proportions convenables. L'infanterie devint, sous ce maître, ce qu'elle doit être, ce qu'elle était chez les Grecs et chez les Romains, la force des armées. La guerre de la révolution , en donnant encore plus d'extension au nouveau mode , a surtout porté l'art des batailles a un grand point de perfectionnement.
Toutefois il reste encore, dans l'état actuel des choses, à rechercher et a puiser dans la pratique des anciens, des principes éprouvés par le succès et le temps, applicables au système fondé sur les armes a feu. C'est d'après l’expérience des guerres du dernier siècle et de celui-ci, qu'il convient de rassembler des règles fixes, pour en former un corps de doctrine militaire, doctrine malheureusement indispensable à l'existence des nations, aussi longtemps que notre globe sera ensanglanté par le choc de leurs passions et de leurs intérêts opposés.
Le général Rogniat a divisé ses considérations générales sur l'art de la guerre, en quatorze chapitres, tous d un grand intérêt, et renfermant pour la plupart des idées nouvelles et profondes. Son style est facile, souvent élégant, toujours clair, et surtout dégagé décès formes pédantesques par lesquelles, dans un ouvrage didactique, l'ennui se trouve placé quelquefois a côté de l'instruction. Lorsqu'il traite des batailles et des grandes opérations offensives et défensives, notre auteur développe une grande étendue de vues et de connaissances. Les victoires les plus récentes, dans nos fastes militaires, sont l'objet de ses remarques, et il en tire d'importantes conséquences. Les vrais amis de la gloire nationale ne liront pas, sans le sentiment d'un juste orgueil , les réflexions que suggèrent au général nos victoires d'Eylau, d'Iéna et de Wagram ; et il sera consolant pour eux de connaître les véritables causes de la perte des batailles de Leipsick et de Waterloo. La valeur héroïque de nos soldats aurait pu changer le succès de ces deux journées, si le chef qui la dirigeait n'eût pas violé plusieurs des principes fondamentaux d'un art aux progrès duquel il avait pourtant contribué d'une manière si brillante.
Ce que je viens de dire sur l'ouvrage du général Rogniat, en fait connaître assez l'importance et le mérite. Les notes qu'il a placées a la fin de ses savantes considérations, prouvent que des études approfondies ont fortifié son expérience, et qu'il lui appartenait, à juste titre, de traiter une matière dont il s'est si bien rendu maître.
     
 

Le général baron de Jominy, aujourd'hui aide de camp de l'empereur de Russie, a fait paraître les deux derniers volumes de son Traité des grandes opérations militaires (2), commencé lorsqu'il était au service de France. Cet ouvrage a pour objet principal la comparaison des campagnes de Frédéric II et de la révolution, avec celles de Napoléon. L'auteur en déduit des principes généraux sur l'art de la guerre. La troisième et dernière partie, qui vient d'être rendue publique, et dont nous parlerons exclusivement aux autres, qui, par la date de leur publication, sortent du plan que nous nous sommes tracé, contient l'histoire critique des campagnes d'Italie et du Rhin, en 1796 et 1797. Le général Jominy a fait un usage judicieux des documents qu'il a puisés dans le temps au dépôt de la guerre, et qu'il a trouvés dans les relations étrangères les plus dignes d'estime. Il a continué d'écrire sinè ira née odio : c'est une leçon qu'il a voulu sans doute donner a ceux qui, changeant de style et d'opinion avec les circonstances , substituent à la vérité qu'ils ont reconnue , des déclamations haineuses et de mensongères assertions ; Pour prix de l'impartialité qu'il professe, l'armée rendra justice a l'officier qui a déjà servi dans ses rangs. Son livre sera toujours classique pour les militaires français ; les principes sains qu'il renferme lui assurent ce droit. Le général Jominy a évité habilement les écuei1s que l'historien contemporain rencontre dans sa marche ; sa critique ne s'attache pas aux individus mais aux faits ; elle est toute entière pour l'art, et c'est ce qui doit fonder le succès de l'ouvrage.

  Jomini  
 

Il nous reste à parler de la Campagne de 1800, écrite par M. le lieutenant général comte Dumas, pour faire suite a celle de 1799, qui a été publiée à Hambourg. L'auteur, alors exilé de France par des causes politiques honorables pour lui, avait conçu le plan d'un précis périodique des événements militaires du temps. Encouragé et secondé dans son entreprise par plusieurs de ses compagnons d'infortune non moins distingués que lui, notamment par son digne ami le comte Alexandre de Lameth, il fit paraître, dans le cours de l'année, douze cahiers qui forment l'historique de la campagne de 1799.
Mais bientôt rappelé dans sa patrie, et rentré dans les rangs de l'armée, le général Dumas ne put continuer les occupations qui charmaient le temps de son exil. Il ne lui resta plus de moments à dérober à ses devoirs.
D'autres circonstances politiques l'ont rendu a son indépendance, et il s'est empressé de consacrer ses nouveaux loisirs à la reprise d'un travail que ses premiers essais avaient fait regretter de voir interrompu. La Campagne de 1800 (3), tracée sur un plan plus continu, forme les troisième et quatrième volumes du Précis militaire que le général se propose de conduire jusqu'à la fin de la campagne de 1814.
Dans l'avant-propos qui précède la relation dont nous parlons, l'auteur expose les sentiments qui l'animent dans sa louable entreprise, et son livre est le gage de la sincérité de ses promesses. Les faits y sont présentés avec une grande impartialité, décrits avec autant de précision que d'élégance, et accompagnés de réflexions politiques qui décèlent, dans le général, l'homme d'état, l'observateur éclairé, l'écrivain philosophe digne de manier le burin de l'histoire. C'est principalement dans les notes (jetées à la fin du dernier volume pour ne point embarrasser la marche rapide du récit)que le comte Dumas justifie une partie des qualités que nous venons d'énoncer. Il y présente des considérations du plus haut intérêt. Nous voudrions pouvoir mettre nos lecteurs a même d'en juger par des citations: elles ne nous manqueraient point ; mais les bornes que nous nous sommes imposées dans cette revue sommaire, nous le défendent. Il nous suffira de dire que ces notes sont l'utile accessoire d'une narration brillante, fidele, où l'amour propre national trouve a se satisfaire sans aucun sujet de récrimination fondée. Au surplus, les étrangers se sont déjà empresses de rendre au général Dumas la justice qu'il mérite. Un grand nombre de journaux allemands et anglais ont fait l'éloge de ces deux nouveaux volumes du Précis des événements militaires, comme ils avaient apprécié les premiers cahiers, publiés à Hambourg (4).
Ce témoignage récent, loin de rien faire conclure de défavorable contre les intentions patriotiques de l'auteur, justifie et confirme les paroles solennelles du ministre d'Autriche, dans son discours à la diète de Francfort « Les peuples réconciliés se sont accordés réciproquement le tribut de leur estime, pour le courage dont ils ont donné de si belles preuves, en défendant leurs droits et leur dignité nationale.
Le général Th. Beauvais.

(1) Un volume in-8°. Paris, chez Magimel et compagnie, libraires pour l'art militaire, rue Dauphine, n° 9.

(2) Cet ouvrage , en huit volumes in-8°., et d’un atlas , se trouve à la même adresse que celui du général Rogniat.

(3) A Paris, chez Treutel et Wurtz, libr., rue de Bourbon , n° 17; et chez Magimel.

(4) II est à remarquer que , parmi les feuilles périodiques qui paraissent à Paris et dans les départements, deux journaux seulement ont rendu compte de la Campagne de 1800, le Constitutionnel et le Journal de Paris.

 

Dumas (Mathieu)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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