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Chapitre
XI. Du dos, des épaules, des bras et du coude.
(...) C’est un défaut
de croiser les bras sur la poitrine, de les entrelacer derrière
le dos, de les laisser pendre avec nonchalance, de les balancer
en marchant, sous prétexte de soulagement ; l’usage veut que si
l’on se promène avec une canne à la main, le bras qui est sans appui
soit posé légèrement contre le corps, et qu’il reçoive un mouvement
presque imperceptible, sans cependant le laisser tomber de côté
; si l’on n’a point de canne, ni manchon, ni gants, il est assez
ordinaire de poser le bras droit sur la poitrine ou sur l’estomac,
en mettant la main dans l’ouverture de la veste, à cet endroit,
et de laisser tomber la gauche en pliant le coude, pour faciliter
la position de la main, sous la basque de la veste. En général,
il faut tenir les bras dans une situation qui soit honnête et décente.
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