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7 juin 1815   Jeudi 8 juin 1815    9 juin 1815

Début de la série : 
       

 

On lit dans le Journal de Paris de ce jeudi 8 juin 1815 :

 
  Paris, 8 juin.
La garde impériale, infanterie, cavalerie e artillerie, continue à se rendre aux frontières. Dans la nuit de lundi à mardi, et pendant toute la journée, il en est parti de Paris, par les barrières de la Villette et de Pantin, environ 15.000. Dans le même temps, des détachements considérables de militaires rappelés ou de jeunes gens qui se sont enrôlés volontairement, entraient dans Paris, notamment par la barrière Saint-Denis, pour y ête équipés et armés.
 

 

 
 

- Nous avons annoncé, il y a deux jours, que quatre régiments saxons, commandés par un général de la même nation, étaient arrivés en France par Philippeville, et qu'ils étaient venus se ranger sous les aigles françaises. Aujourd'hui on annonce qu'un officier français, qui arrive de Soissons à Paris, assure avoir vu entrer dans cette ville, au moment de son départ, la tête d'une colonne de 5 à 6 mille Saxons, avec quatre pièces de canon. Ce fait a besoin de confirmation.

 
 
 

- L'arrivée de M. le maréchal Grouchy et de M. l'intendant-général Daure au grand quartier-général de Laon, et un mouvement que l'on croit que le 6e corps va faire pour se rapprocher de la frontière, font présumer que les hostilités ne tarderont pas à commencer.

 
 
  - Les officiers, sous-officiers et soldats du 1er régiment d'infanterie légère ont fait hommage d'un jour de solde pour subvenir aux dépenses de la guerre.      
  Londres, 4 juin.
Les Brabançons, disent les feuilles d'Allemagne, sont animés du plus vif enthousiasme pour leur pays et pour leur roi ; les ecclésiastiques en particulier sont tous contre Napoléon ; nous croyons volontiers la dernière de ces assertions ; mai nous n'ajoutons aucune foi à la première ; aucun peuple sur la terre n'a moins d'esprit national que les Brabançons ; ils ne savent ce que c'est que l'amour de la patrie : leur pays a presque toujours été occupé par les étrangers, et ils se rangent invariablement du côté du plus fort. De là leur prédilection pour la protection française. (Statesman.)
     

 

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