| Dernière modification: 19/04/2003 New-Yorck
Yorck, (la nouvelle) province de l'Amérique septentrionale sur la côte orientale. Elle est bornée N. par le Canada, E. par la nouvelle Angleterre, O. par la Pensylvanie, S. par la mer du Nord et la nouvelle Jersey. Elle fut découverte par Henri Hudson en 1609. On l'appelait autrefois la nouvelle Hollande, parce que les Hollandais s'y étaient établis ; mais elle changea de nom en passant aux Anglais. Les Hollandais l'ont cédée aux Anglais pour Surinam. Son sol est assez fertile, surtout en grain, et on y compte environ 180 mille habitants. Elle a 63 lieues de N au S et 25 de l'E à l'O. Cette province par le traité de 20 janvier 1783, est devenue indépendante et un des 13 États-Unis. New Yorck en est la capitale. (Vosgien, Dictionnaire géographique portatif, troisième édition, an VII-mai 1799.) Dans l’édition de 1758 du même
dictionnaire, on lisait : Yorck (New) ville de l'Amérique septentrionale , capitale de la province de son nom, avec une bonne rade. Elle a été bâtie par les Hollandais, qui lui donnèrent le nom de Nouvelle-Amsterdam. Son commerce consiste principalement en castor et en fourrure. Sa population est d'environ dix mille âmes. Elle a été prise par les Royalistes le 15 sept 1776, qui en ont fait leur place d'armes cependant tout le reste de la guerre, et ne l'ont évacuée qu'après la paix de 1783. Elle est dans l'île de Manahatan, à deux milles de l'embouchure de la rivière d'Hudson, à 23 lieues NE de Philadelphie. Lat. 40.55 longit 301. (Vosgien, Dictionnaire géographique portatif, troisième édition, an VII-mai 1799.)
Yorck, (la nouvelle) province de l'Amérique septentrionale, bornée N. par le Canada, E. par la nouvelle Angleterre, O. par des nations américaines. par la mer du Nord. La rivière de Hudson la traverse du Nord au Sud. C'est une des 13 provinces qui forment les Etats-Unis. On l'appelait Nouvelle-Hollande, lorsqu'elle appartenait aux Hollandais. Les Suédois, en la leur enlevant, l'avaient nommée Nouvelle-Suède ; mais elle changea de nom en passant aux Anglais : sol fertile en grains. (Dictionnaire géographique portatif, par Vosgien, 1809.) |
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