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Botteresses |
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| Demanet, Cours de construction, t. 2, Paris 1862 : |
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| 816. Transport à la hotte. Ce mode de transport n'est guère employé, et encore assez rarement, que dans la province de Liège, et ce sont ordinairement des femmes appelées botteresses qu'on y emploie ; elles se servent de hottes en osier qu'elles portent sur le dos et qu'elles s'attachent aux épaules avec des bretelles. Ce moyen de transport ne peut être avantageux que dans des cas tous spéciaux. |
| Jourdain (Aug.) Dictionnaire encyclopédique de géographie historique du royaume de Belgique, 1868. |
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Grace-Berleur, commune de la province de Liège. Pop. 2.344 hab. (...) 6 kilom. O. de Liége, ville avec laquelle elle communique par une route pavée. (...) Hist. Un grand nombre des habitants de cette commune, homme, femmes et enfants, se livrent au genre particulier du colportage de ville en ville, de village en village, des productions du sol, et du transport à destination des marchandises de Liége et de sa banlieue. Les femmes, qui exercent ce métier, sont connues sous le nom de botteresses. |
| Bertrand (J.E.), Descriptions des arts et métiers, Nouvelle édition. tome 18, Neuchatel 1781. |
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| Forts, toutes personnes de journées qui s'adonnent à remuer et porter de pesants fardeaux sur des crochets ou sur des hottes: c'est ce qu'on nomme communément à Paris porte-faix, et à Liege des botteresses, parce que ce sont des femmes qui s'emploient à ces travaux. |
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