La
20e demi-brigade d'infanterie de ligne
a été formée lors du second amalgame
(loi
du 18 nivôse an IV-7 janvier 1796)
par le 1er bataillon de la 176e demi-brigade, la
179e demi-brigade (de premier amalgame),
et les corps suivants qui n'avaient pas été
amalgamés lors du premier amalgame :
- 1er bataillon du 60e régiment ;
- 11e bataillon de la Haute-Saône ;
- 2e bataillon de Valenciennes (Nord) ;
- 15e bataillon des Fédérés ;
- 8e bataillon du Bas-Rhin.
La 176e
demi-brigade de première formation avait été
formée des unités suivantes :
- 2e bataillon du 98e régiment ;
- 4e bataillon des Fédérés ;
- bataillon de Popincourt.
La 179e
demi-brigade de première formation avait été
formée des unités suivantes :
- 1er bataillon du 102e régiment ;
- 6e bataillon de Paris ;
- 7e bataillon de l'Oise ;
- 1er bataillon du 60e régiment ;
- 11e bataillon de la Haute-Saône ;
- 2e bataillon de Valenciennes (Nord) ;
- 15e bataillon des Fédérés ;
- 8e bataillon du Bas-Rhin.
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D'après
l'état d'emplacement publié dans le Journal militaire
du 10 vendémiaire an VII, la 20e demi-brigade de ligne était,
au 1er vendémiaire an VII (22 septembre 1798), dans la 17e
division militaire (Seine, Oise, Seine-et-Oise, Seine- et-Marne,
Eure et Loir, Loiret).
D'après
l'Emplacement des troupes de la République française
à l'époque du 1er fructidor an 9, la 20e demi-brigade
d'infanterie de ligne avait ses 1er et 2e bataillons, à Besançon,
et son 3e bataillon à Pontarlier. (Voir Armée
française en fructidor an 9).
.
D'après
l'Etat militaire de l'an X (1802), le 1er bataillon de la 20e demi-brigade
de ligne était à Besançon, le 2e bataillon
dans la citadelle de Besançon, et le 3e bataillon à
Pontarlier et à Salins.
L’arrêté
du 1er vendémiaire an XII (24 septembre 1803) rétablit la dénomination
de régiment d’infanterie.
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