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La 7e demi-brigade a été formée lors du second amalgame (loi du 18 nivôse an IV-7 janvier 1796) de la 128e demi-brigade (de premier amalgame) et des corps suivants, qui n'avaient pas été amalgamés lors du premier amalgame :
- 1er bataillon du 83e régiment ;
- 2e du 49e régiment ;
- 3e bataillon de Paris ;
- 7e bataillon de Paris ;
- 7e bataillon de l’Yonne ;
- 16e bataillon des Fédérés.

La 128e demi-brigade avait été formée des unités suivantes :
- 2e bataillon du 68e régiment ;
- 3e bataillon de l’Eure ;
- 6e bataillon de l’Oise.

D'après l'Emplacement des troupes de la République française à l'époque du 1er fructidor an 9, la 7e demi-brigade d'infanterie de ligne était en Batavie. (Voir Armée française en fructidor an 9).

D'après l'Etat militaire de l'an X (1802), la 7e demi-brigade était en Batavie, le 1er bataillon à Gouda, le 2e à Schouhoren, le 3e à Gorkum.

L’arrêté du 1er vendémiaire an XII (24 septembre 1803) rétablit la dénomination de régiment d’infanterie.

7e Régiment, formé de la 7e demi-brigade. Ce corps, qui était aux colonies, à été fait prisonnier de guerre le 9 frimaire an XII (1er novembre 1803), lors de l'évacuation du Cap. Réorganisé à 3 bataillons à Saint-Domingue, il reçut le 3e bataillon de la 68e et fut mis à la disposition du ministre de la marine. —Un nouveau 7e régiment a été créé à Blaye dans le mois de fructidor an XII (août 1804). Il reçut en incorporation le 1er bataillon de la 31e demi-brigade. — Campagnes: 1806 camp volant de la Vendée; 1807 à l'armée d'Italie; 1808 au corps d'observation des Pyrénées; de 1809 à 1812 aux armées d'Espagne, de Catalogne et d'Aragon ; 1813 à la grande armée; 1814 à l'armée d'Italie, au corps d'observation de réserve du Midi et à l'armée de Lyon; 1815 au 7e corps de la grande armée. (Pascal, Histoire de l'Armée, t.4 p. XXVI.)