La
5e demi-brigade a été formée lors du second
amalgame (loi
du 18 nivôse an IV-7 janvier 1796)
de la 146e demi-brigade, de la 193e demi-brigade, et du 1er bataillon
de la 11e légère (de premier amalgame).
La 146e
demi-brigade (142e dans l'Etat militaire de l'an X) avait
été formée des unités suivantes :
- 2e bataillon du 79e régiment ;
- 1er bataillon de la Côte d’Or ;
- 8e bataillon de l’Isère.
La 193e
demi-brigade avait été formée des
unités suivantes :
- 1er bataillon du 109e régiment ;
- 1er bataillon de l’Yonne ;
- 3e bataillon de la Loire-Inférieure ;
Le 1er bataillon
de la 11e demi-brigade légère (1re
formation) avait été formée des unités
suivantes :
- 3e bataillon de chasseurs ;
- 2e des chasseurs révolutionnaires ;
- 1er bataillon des chasseurs des Alpes ;
- Chasseurs des Hautes-Alpes.
D'après
l'Emplacement des troupes de la République française
à l'époque du 1er fructidor an 9, la 5e demi-brigade
d'infanterie de ligne avait son bataillon d'élite et 1er
bataillon à l'armée d'observation du Midi, et son
2e bataillon à Bruxelles. (Voir Armée
française en fructidor an 9).
D'après
l'Etat militaire de l'an X (1802), le 1er bataillon et le bataillon
d'élite de la 5e demi-brigade étaient à Livourne,
et le 2e
bataillon à Bruxelles.
L’arrêté
du 1er vendémiaire an XII (24 septembre 1803) rétablit la dénomination
de régiment d’infanterie.
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