Accueil 

Annuaire

Faits et événements

Personnages

Napoléon

La France et le Monde

Waterloo

Belgique

Armées

Uniformes

Reconstitution

Publications

Liens

Nouvelles du Jour

Plan du site

Balises

   

Waterloo battle 1815

 

 

 

1789-1815.com

   Annuaire 1789-1815   >   Personnages  >  

.

Regnault de Saint-Jean d'Angély

 

Biographie universelle (Michaud) ancienne et moderne, Nouvelle édition, tome 35, Paris Leipzig, 1854.

   
 

REGNAULT DE SAINT-JEAN D'ANGÉLY (Michel-Louis-Étienne), né à St-Jean d'Angély, embrassa la profession d'avocat et devint lieutenant de la prévôté de la marine à Rochefort. De premiers succès au barreau l'ayant fait remarquer, il fut, quoique fort jeune, député aux états généraux par le tiers état du pays d'Aunis. Regnault avait ce qu'il fallait pour réussir dans la vaste carrière qui allait s'ouvrir devant lui : un extérieur avantageux, une élocution facile, un son de voix net, sonore, et des talents assez distingués. Il se présenta d'abord avec circonspection dans cette assemblée, où il ne fut guère question de lui avant le 17 juin 1789, époque de la dissolution des états généraux. Il chercha d'abord à se faire connaître par la publication d'une feuille quotidienne intitulée Journal de Versailles, dont on le savait l'auteur, quoique cette feuille ne portât pas son nom (1). C'est un tableau fidèle des opérations de l'assemblée. Le Journal de Versailles cessa de paraître lorsque l'assemblée constituante vint tenir ses séances à Paris, où Regnault donna des notes pour une petite feuille intitulée le Postillon par Calais, résumé extrêmement succinct des délibérations de chaque séance. Ce journal, qui paraissait le soir, ne se fit guère remarquer que par les cris des colporteurs qui le proclamaient par les rues avec beaucoup de fracas. Après le 17 juin, Regnault sortit de sa réserve et prit souvent la parole, mais ne prononça pas de discours étendus. Bien que conformes à l'esprit du temps, ses opinions étaient cependant modérées. La crise du 14 juillet ayant chassé de leurs sièges ou réduit à une nullité complète toutes les anciennes autorités, les hommes les plus fougueux se mirent à leur place de leur autorité privée. Pour faire cesser ce système d'anarchie, Regnault fut d'avis qu'avant de s'occuper d'une nouvelle constitution, l'assemblée instituât, de concert avec le roi, les autorités municipales et provinciales, par la raison, disait-il, qu'ayant reçu une forme légale, elles inspireraient au peuples plus de confiance et de respect. Au lieu de pouvoirs légaux, on établit des clubs qui se mirent à l'œuvre avec activité. Plus tard, on entendit Regnault dénoncer avec force les libelles qu'on répandait dans l'armée pour faire révolter les soldats. Cependant, malgré ses protestations contre l'anarchie, Regnault soutenait le parti libéral et marchait souvent d'accord avec lui. Il attaqua, dénonça les parlements, et demanda que celui de Rouen fût mandé à la barre pour avoir méconnu l'autorité du pouvoir souverain, qui, dans son opinion, appartenait à l'assemblée. Il défendit de bonne foi le système de finances de Necker, que Mirabeau défendit aussi, mais avec les armes de la plus sanglante ironie, pour le discréditer avant qu'on le mît à exécution. En 1790, Regnault vota pour la réduction des pensions, qui, à la vérité, n'étaient pas toutes très légitimement acquises; mais il s'intéressa pour les créanciers de l’État et demanda que, préalablement à l'époque inconnue d'une liquidation incertaine, on leur accordât des à-comptes. Il fut partisan très prononcé des réformes ecclésiastiques et demanda que les évêques et les curés qui refuseraient de prêter serment à la constitution civile du clergé fussent immédiatement remplacés: mais il combattit comme trop sévère la motion d'un de ses collègues, très opposé, depuis, au système de la révolution, qui insistait pour que les religieux fussent privés du droit de cité; opinion plus que sévère qui rejetait dans les dernières classes de la populace des hommes instruits et bien élevés. Regnault s'intéressa aussi pour les religieuses et demanda qu'on leur accordât des pensions qui les missent à l'abri du besoin. Dans d'autres circonstances, il se montra réellement républicain, bien que sa conduite ait depuis prouvé que l'institution d'une république était loin de sa pensée. Lors des débats sur la question de savoir à quel pouvoir serait attribué le droit de faire la paix et la guerre, il adopta le système de Pétion et de Barnave et soutint avec eux que le roi ne devait faire aucune entreprise hostile sans le consentement de la nation. Le 4 septembre, lors de la retraite du ministre Necker, il combattit, quoique indirectement, le système des assignats, qui devait être le principal levier de la révolution. Il voulait que cette funeste opération fût ajournée. Le 7 mai de l'année 1791, il se rangea dans le parti de ceux qui demandaient que le droit de cité dans les colonies appartînt immédiatement aux affranchis, quelle que fût leur couleur, noire ou sang mêlé. Son collègue Barnave, beaucoup plus révolutionnaire que lui dans toutes les autres questions politiques, avait repoussé cette concession de toutes ses forces en soutenant que si elle devait être faite, il ne convenait pas que ce fût par la métropole, mais par les assemblées coloniales, auxquelles, dans son système, il fallait conserver une entière initiative dans une question aussi délicate. Cette opinion de Barnave est une de celles où ce jeune homme développa le plus de talent et d'idées saines. Le 17 juillet 1791, lors du malheureux voyage de Louis XVI pour Montmédy, Regnault fit décréter que les autorités du royaume et les gardes nationales arrêteraient toutes les personnes qui sortiraient de France ; qu'on s'emparerait des convois d'armes et d'argent, des chevaux et des voitures; enfin qu'on prendrait toutes les mesures pour empêcher la famille royale de poursuivre sa route. Après le retour du roi, Regnault se jeta dans le parti feuillant, qui paraissait vouloir maintenir la constitution et sauver ce qui restait de la royauté. Il ne quitta point la capitale et devint capitaine de grenadiers nationaux. Pendant la session de l'assemblée législative, il fournit divers articles au Journal de Paris, dont André Chénier était un des principaux coopérateurs; mais il travailla plus particulièrement à une feuille hebdomadaire intitulée l'Ami des patriotes, dont la liste civile faisait les frais. Echappé à la proscription du 10 août 1792, il se tint prudemment à l'écart; mais, après le 31 mai 1793, il fut découvert et mis sous la surveillance d'un gendarme qui le suivait partout. Il lui échappa et s'enfuit; mais, reconnu à Douai et jeté dans les prisons de cette ville, il n'en sortit qu'après la révolution du 9 thermidor. Peu de temps après, il fut nommé administrateur des hôpitaux de l'armée d'Italie, où il eut de premiers rapports avec le général en chef Bonaparte. En 1796, il s'attacha entièrement à la fortune de cet homme extraordinaire, qui, lui-même, lui reconnaissant des talents et une grande aptitude pour le travail, n'oublia pas, depuis, de l'employer dans les circonstances les plus difficiles. Regnault fit imprimer à Milan, et particulièrement dans les intérêts de Bonaparte, un journal qui fut très répandu dans l'armée. Il suivit le général à Malte et ne l'accompagna pas en Egypte; mais il fut pourvu à Malte d'un emploi de commissaire directorial : si l'on en croit Mallet-Dupan, il y régissait l'administration du pillage et composait une gazette révolutionnaire pour l'île et l'archipel. Revenu à Paris, Regnault continua de servir Bonaparte avec un très grand zèle et fut un de ceux qui préparèrent la révolution du 18 brumaire et contribuèrent le plus à la faire réussir. On sait que cette journée fut la dernière de la république. Les fondements de la monarchie la plus absolue commencèrent à être posés, et Regnault, qui avait jusqu'alors professé des principes opposés, devint un de ses agents les plus utiles et les plus actifs. Napoléon le nomma président de la section de l'intérieur de son conseil d'Etat et porta les honoraires de cette place à trente-six mille francs. Il le prit en outre pour auxiliaire dans les travaux de son cabinet particulier et le rétribua généreusement pour cette autre occupation. Regnault eut alors un très grand ascendant sur tout le ministère, et il est juste de dire ici que le nouveau souverain avait assez bien placé sa confiance. Son protégé avait une expérience exercée par les grands événements qui s'étaient passés sous ses yeux; il y avait souvent pris part et savait que la science de l'administration consiste principalement dans la connaissance des hommes. Il fallait, surtout alors, avoir observé ceux qui avaient joué un rôle dans la révolution, parce qu'ils étaient les plus difficiles à conduire. Regnault avait vu leurs manœuvres, avait été initié à plusieurs de leurs combinaisons. Il avait d'ailleurs, comme on l'a dit, le travail extrêmement facile; et c'est ce qu'il fallait pour servir un homme qui, voulant sur-le-champ tout emporter de haute lutte, exigeait que ses projets fussent exécutés aussitôt qu'ils étaient conçus : lorsqu'au milieu de la nuit, dans les intervalles du sommeil, il lui en venait quelques-uns dans la pensée, il dépêchait un messager à Regnault, qui accourait au grand galop de ses chevaux, écoutait, jetait par écrit à peine éveillé les conceptions du maître qu'il fallait deviner la plupart du temps, et en essuyait les brusqueries, qui, toutefois, étaient très-bien payées. Il fut comblé de bienfaits et d'honneurs, même littéraires : en 1803, il fut nommé membre de l'Académie française, qu'il présida en 1804. Lors de la création de la noblesse impériale, il reçut le titre de comte et fut nommé au mois de juillet 1804 procureur général près la haute cour impériale et grand officier de la Légion d'honneur. En 1810, l'empereur l'attacha plus particulièrement à ses intérêts en créant pour lui une place de secrétaire de l'état de la famille impériale. Chargé, en cette qualité, d'annoncer la dissolution du mariage de l'empereur avec Joséphine Beauharnais et sa prochaine union avec l'archiduchesse Marie-Louise, il déclara, le 20 avril 1810, dans une séance extraordinaire du sénat, que ce mariage, en perpétuant la nouvelle dynastie, assurait la prospérité de la France et présageait la paix du monde. Dans toutes les circonstances, et surtout dans les plus difficiles, Regnault fut le défenseur obligé de tous les projets de l'empereur, et l'on sent assez que nous ne pouvons le suivre dans une telle carrière : il nous suffira de dire que son nom se rattache à toutes les grandes époques de ce règne, unique peut-être dans l'histoire. La création des sénatoreries, le rétablissement de la traite des noirs, la défense de la nouvelle procédure criminelle, les immenses levées de soldats qui devaient asservir l'Europe; tels furent les objets dont il eut ordre de demander la sanction. Voici un aperçu des levées d'hommes qu'il fit approuver par le sénat: le 4 septembre 1806, 80,000 hommes sur la conscription de 1807 : en 1807, la levée d'un pareil nombre de soldats sur la conscription de 1808, et en 1808, autant sur celle de 1809: le 8 septembre de la même année, la levée de 1810 et du reste des quatre classes précédentes, c'est-à-dire la formation de cette belle et immense armée qui devait périr dans les glaces de la Russie; enfin, après la bataille de Leipsick, il fit ordonner que 300.000 hommes, le reste de la jeunesse de la France, fussent mis à la disposition du ministre de la guerre. Ce serait cependant une erreur de croire que Regnault approuvât les mesures violentes que Napoléon lui ordonnait de justifier. Dès l'ouverture de la campagne de Russie, il s'aperçut que l'empereur compromettait sa fortune, que lors du traité de Tilsitt il avait crue assurée : après la bataille de Leipsick, il en désespéra. A cette époque, des émissaires de la maison de Bourbon cherchaient à rallier à la cause du roi des hommes qui pouvaient la servir utilement; et il paraît certain qu'on fit des démarches auprès de Regnault par l'entremise d'une Anglaise nommée Bishop, à laquelle il avait rendu quelques services. Cette femme eut la dangereuse hardiesse de lui faire quelques ouvertures; elle pénétra même assez avant dans sa politique pour voir qu'au moins il n'était point l'ennemi de la famille royale. Mistriss Bishop reçut pour réponse de Regnault « que tout ce qui porte le caractère d'une trahison lui était odieux; mais que si le temps amenait la catastrophe dont le gouvernement était menacé, lui Regnault, libre alors de tout engagement, se dévouerait aux intérêts de Louis XVIII et lui offrirait pour garant de sa conduite les proscriptions qu'il avait essuyées et l'alliance qu'il avait contractée avec une famille dévouée à ce prince lui-même (2). » Lors du départ de Napoléon pour la campagne de 1813, il fit connaître le décret impérial qui déclarait Marie-Louise régente de l'Empire, décret qui avait pour but d'attirer l'empereur d'Autriche dans les intérêts de la France, ou, si l'on veut, de l'homme qui en était encore le maître. Le 8 janvier 1814, Regnault fut nommé commandant d'une des légions de la garde nationale de Paris, et le 30 mars il sortit hors des barrières pour combattre les troupes alliées : mais il s'en sépara bientôt, et l'on peignit cette retraite comme une lâcheté; mille brocarts plus offensants les uns que les autres tombèrent sur lui : cependant le général Dessoles, depuis commandant de la garde nationale, rendit publique une délibération du conseil de discipline qui justifiait Regnault de toute imputation de lâcheté et fit entendre que d'importants intérêts politiques avaient motivé sa rentrée dans la capitale : en effet, il était parti le 30 pour Blois, où, après quelques contrariétés, il s'était rendu auprès de Marie-Louise; il y était resté jusqu'au 8 avril, jour de l'arrivée du comte de Schouwaloff, envoyé auprès de la princesse en qualité de commissaire des puissances alliées : il partit de là pour Clermont en Auvergne avec la cocarde blanche et blâma les autorités du pays de ne l'avoir pas encore prise. Cette démonstration paraissait annoncer la résolution de Régnault de servir la monarchie des Bourbons. On rappela aux personnes qui avaient cherché à l'attirer dans les intérêts du roi, la réponse qu'il avait faite aux insinuations de mistriss Bishop; mais il fut répondu nettement qu'on n'avait pas besoin de lui : on conçoit dès lors comment il rentra dans le parti de Napoléon, qu'il semblait avoir abandonné. Se trouvant néanmoins président de l'Académie, il célébra, lors de la réception de Campenon, le descendant d'Henri IV, et félicita la France du retour d'un roi si longtemps désiré. Ce langage, qui s'accordait peu avec celui qu'il avait tenu peu de temps auparavant, excita des murmures dans toute la salle, et le lendemain les journaux s'attachèrent à le mortifier à cette occasion et n'en firent pas un royaliste plus zélé. Au 20 mars 1815, il rentra dans ses prérogatives et prit part à toutes les mesures qui avaient pour but d'assurer le pouvoir de Napoléon : il attaqua surtout avec beaucoup de violence la déclaration du congrès de Vienne du 13 mars et soutint que les clauses du traité de Fontainebleau n'ayant été exécutées ni à l'égard de Napoléon, ni à l'égard de Marie-Louise, le premier n'était point tenu de remplir les engagements qu'il avait souscrits. Il vanta ensuite la modération de Napoléon en l'opposant à la déclaration royale qui avait mis l'ex-empereur hors de la loi. Il fut nommé par son département député à la chambre dite des représentants et y parla plusieurs fois toujours dans les intérêts de l'empereur, tantôt comme député, tantôt comme ministre d'Etat. Après la bataille de Waterloo, Napoléon ne tarda pas à l'appeler auprès de lui, et il paraît que Regnault ne chercha point à l'abuser sur la situation désespérée où il se trouvait. Le 22 juin, il se chargea d'annoncer à la chambre la résolution de l'empereur d'abdiquer en faveur de son fils. Quelques députés ayant alors proposé de déclarer le trône vacant, Regnault s'opposa fortement à cette motion, qui rejetait la France dans l'anarchie. « Je n'ai plus ici d'intérêt personnel, dit-il; je n'appartiens plus à aucun parti : je ne vois que la patrie et ses dangers; je vois que notre premier besoin est de la conserver et de la maintenir. On vous propose de faire table nette, de vous livrer à une création entière d'éléments nouveaux et de vous entourer de débris, pour vous occuper ensuite à reconstruire. N'avons-nous pas eu assez de peines pour établir ce qui existe? Recommencerons-nous la carrière des innovations et de l'inexpérience? » Il demanda ensuite que le bureau fût chargé d'exprimer à l'ex-empereur la reconnaissance du peuple français pour le sacrifice qu'il faisait à son indépendance. Cette proposition étant adoptée, il renouvela ses efforts pour faire déclarer le jeune Napoléon successeur de son père et demanda que l'assemblée décrétât l'abolition de la noblesse, motion ab irato et absolument sans objet. Ce fut ainsi que Regnault termina sa carrière politique. Compris dans l'ordonnance du 24 juillet 1815, il eut cependant, sous la police de Fouché, la faculté de rester dans sa maison de campagne près Pontoise; mais une nouvelle ordonnance du 17 janvier 1816 l'obligea de sortir de France, et il passa en Amérique. Plusieurs voyageurs nous ont dit l'avoir rencontré à New-York : son imagination s'était frappée; ce qui a fait dire qu'il avait l'esprit aliéné : c'est une exagération. Ennuyé du séjour d'Amérique, il n'y demeura guère qu'une année; il revint en Europe en 1817; mais il ne lui fut pas encore permis de rentrer en France, et il fit, pour cela, d'inutiles réclamations. Il paraît qu'il fut redevable de cette sévérité à la conduite, au moins imprudente, de quelques-uns de ses amis et même de ses proches qui avaient écrit des choses injurieuses contre la famille royale dans une correspondance qui fut saisie. Enfin, une ordonnance ayant rappelé tous les exilés, à l'exception des régicides, Regnault, quoique très malade, se mit sur-le-champ en route pour Paris, où il arriva le 12 mars 1819, et mourut en rentrant chez lui : il n'avait pas encore 60 ans. On ne connaît de lui aucune production littéraire (3). Ses discours et ses rapports sous le règne de Napoléon pourraient former un gros volume. Ils sont tous bien écrits et annoncent un homme qui n'était pas indigne du fauteuil académique. B—u.

1) Quelques biographes, qui ont donné des notices inexactes sur Regnault, ont confondu le Journal de Versailles avec le Courrier de Versailles ; il n'y eut de commun entre ces deux journaux que l'époque de leur publication ; les principes n'étaient point les mêmes ; le Journal de Versailles était réformateur, et le Courrier, révolutionnaire très-violent ; celui-ci était rédigé par Gorsas (voy. ce nom); ce fut cette feuille qui dénonça le fameux repas des gardes du corps aux révolutionnaires de Paris et donna le signal de l'insurrection des 5 et 6 octobre.

2) Regnault avait épousé mademoiselle de Bonneuil, dont le père fut attaché, par son service, à Louis XVIII.

(3) Il n'a pas même prononcé de discours pour sa réception à l'Institut. La Réponse académique de Regnault à M. Campenon est peut-être son seul morceau littéraire. A. B—T.

     

 

E.

   
 

Le .

     

 

 

 

     

 

_ Retour au haut de la page.

Page d'accueil

Plan du site

Nouvelles du Jour

Pour écrire

La Patience - 1789-1815.com © Bernard Coppens 2015 - Tous droits réservés.