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Waterloo battle 1815

 

 

 

 

 

 

 

 

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Nationale Militie  

 

Les troupes néerlandaises qui prirent part à la campagne de 1815 comptaient quinze bataillons de milice nationale, tous originaires des provinces du nord ; les bataillons belges, dont l'organisation n'était pas encore fort avancée, ne participèrent pas à la campagne.
Les bataillons n° 9, 14 et 15 faisaient partie de la première brigade (d'Hauw) de la première division (Stedman) ; les bataillons n° 1, 2 et 18 appartenaient à la deuxième brigade (de Eerens) de cette division. Les bataillons n° 5, 7 et 8 faisaient partie de la première brigade (Bylandt) de la 2e division (Perponcher). Quant à la 3e division (Chassé), elle comprenait les bataillons n° 4, 6, 17 et 19 dans sa première brigade (Detmers) et les bataillons n° 3 et 10 dans sa seconde (d'Aubrémé). De ces trois divisions, seules les 2e et 3e prirent part à la bataille de Waterloo.

La tenue des bataillons de milice est fixée par le règlement du 20 décembre 1813, celui du 26 février 1814 et celui du 9 janvier 1815.
Shako du modèle de l'infanterie légère anglaise orné d'une plaque blanche portant les mots "Voor Vaderland en Oranje" (pour la patrie et Orange), et surmonté d'un pompon blanc de 4 3/4 pouces (12,5 cm).

Habit court, de modèle anglais, bleu avec col, parements et passepoils orange, doublure et retroussis blancs, boutons blancs frappés des lettres LM et du numéro du bataillon ;
Veste à manches blanche ;
Capote et pantalon de drap gris ;
Guêtres courtes noires.
Buffleterie blanche, composée d'un porte-giberne et d'un porte-baïonnette, de modèle anglais, mais sans plaque de poitrine.

Giberne à patelette découpée en accolade ;
Havresac de peau ;
Bidon de bois de modèle britannique, marqué au chiffre du bataillon.

Fusil et baïonnette de modèle britannique..

Les sous-officiers et caporaux devaient être distingués par des chevrons, d'argent pour les premiers, de coton blanc pour les seconds, placés au-dessus des parements et formant un angle aigu. Les dragonnes devaient être d'argent pour les sergents, avec un gland de soie orange, et blanches pour les caporaux, avec un gland de poil de chameau orange. Les sergents et les caporaux avaient un sabre-briquet. Différents modèles, d'origine française, anglaise ou prussienne étaient en usage.

Tambours et fifres portent la tenue du corps, et ne sont distingués que par des nids d'hirondelle aux épaules, de fond orange, galons et franges de coton blanc.

 

 

 

 
   
 
 
     

 

 

     

 

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